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Il y a du mouvement sur la Place du Vieux en ce moment. En effet, les travaux de rénovation de l’église Saint-Jean-Baptiste ont commencé.
Cependant, il a fallu prendre en compte les ouvrages et décors. Sur cet aspect du dossier, les travaux menés par le comité d’accompagnement ont mis en lumière la nécessité de protéger les décors (enduits et peintures) au cœur de l’église Saint-Jean.
Avec le temps, le bâtiment présente des dégradations liées, à la fois, à la technique de chauffage par air pulsé et aux petits travaux successifs. C’est dans ce contexte qu’il a été décidé de procéder à une étude préalable du décor. La dépense se monte à 45.656,26 euros TVAC.
L’objectif de cette étude est évident : identifier les pièces et les éventuels problèmes qu’elles présentent mais aussi établir les méthodes de conservation pendant les travaux.
C’est donc l’entreprise « Profiel sprl » qui procédera aux différentes analyses.Cette étude est nécessaire au vu des travaux qui vont avoir lieu au cœur de l’édifice. Elle devrait avoir lieu vers le milieu de l’année 2020.
Pour rappel, sur la proposition de l’Echevin en charge du Patrimoine, Tanguy Auspert, et en concertation avec la Fabrique d’Eglise et l’architecte André Rouelle, le Collège s’était alors penché sur un plan pluri-annuel d’investissements ainsi que sur le planning des travaux. Ils devraient s’étaler de 2019 à 2029, les plus urgents étant bien entendu prioritaires.
Les problèmes de stabilité ont rapidement été pointés, que ce soit au niveau du flanc nord ou des annexes (sacristie, salle de réunion et baptistère). La déformation du flanc nord, l’affaissement de la lanterne de la chapelle sud, ou encore l’effondrement du plafond de la sacristie sont quelques-unes des conséquences visibles à l’œil nu.
Cependant, il a fallu prendre en compte les ouvrages et décors. Sur cet aspect du dossier, les travaux menés par le comité d’accompagnement ont mis en lumière la nécessité de protéger les décors (enduits et peintures) au cœur de l’église Saint-Jean.
Avec le temps, le bâtiment présente des dégradations liées, à la fois, à la technique de chauffage par air pulsé et aux petits travaux successifs. C’est dans ce contexte qu’il a été décidé de procéder à une étude préalable du décor. La dépense se monte à 45.656,26 euros TVAC.
L’objectif de cette étude est évident : identifier les pièces et les éventuels problèmes qu’elles présentent mais aussi établir les méthodes de conservation pendant les travaux.
C’est donc l’entreprise « Profiel sprl » qui procédera aux différentes analyses.Cette étude est nécessaire au vu des travaux qui vont avoir lieu au cœur de l’édifice. Elle devrait avoir lieu vers le milieu de l’année 2020.
Pour rappel, sur la proposition de l’Echevin en charge du Patrimoine, Tanguy Auspert, et en concertation avec la Fabrique d’Eglise et l’architecte André Rouelle, le Collège s’était alors penché sur un plan pluri-annuel d’investissements ainsi que sur le planning des travaux. Ils devraient s’étaler de 2019 à 2029, les plus urgents étant bien entendu prioritaires.
Les problèmes de stabilité ont rapidement été pointés, que ce soit au niveau du flanc nord ou des annexes (sacristie, salle de réunion et baptistère). La déformation du flanc nord, l’affaissement de la lanterne de la chapelle sud, ou encore l’effondrement du plafond de la sacristie sont quelques-unes des conséquences visibles à l’œil nu.
256.780 euros de subsides
L’édifice, restauré en 1616, 1890 et classé en 1936, comporte également de nombreuses traces de vétusté. A l’extérieur, on remarque des pierres éclatées, déstabilisées, délogées, ou encore fendues. A l’intérieur de l’édifice, l’état de délabrement se révèle encore plus explicite. Les surfaces enduites sont en mauvais état (cassures, fissures, décollements, …), tout comme les voûtes, le carrelage, les vitraux…
En outre, le système de chauffage nécessite d’être remplacé : en expulsant l’air chaud, celui-ci se condense au contact des parois froides des voûtes, ce qui fait que les peintures se craquellent et que les enduits perdent leur cohésion.
L’installation électrique est également totalement obsolète. Les câbles ne sont plus isolés et l’ensemble ne répond plus ni à l’usage du lieu, ni aux règles élémentaires de sécurité.
Bref… Il est grand temps. Et le Ministre Collin a bien compris l’urgence : ce dernier a d’octroyé les subsides nécessaires au bon déroulement du dossier en mai dernier : 256.780 euros !
Mais en quoi consistent les travaux ?
Le premier lot, qui concerne la stabilité, le gros-œuvre, la charpente et la couverture, devrait s’étaler de 2018 à 2021 et est estimé à 656.998 € TVAC.
Le deuxième concerne les menuiseries intérieures et extérieures. Estimé à 58.670 € TVAC.
Le troisième lot, enfin, concerne les techniques spéciales et est estimé à 109.372 € TVAC.
En ce qui concerne les travaux en cours, il s’agit la phase 1. Elle regroupe la tranche 1 de chaque lot et la tranche 2 du lot 1. Autrement dit : de la démolition des annexes, du début de la stabilisation du flanc nord et les travaux de toiture (réfection et nouvelle toiture).
La phase 2 porte, elle, sur la réalisation des fondations et des murs de l’annexe, de sa toiture, de l’ancrage du flanc nord et la mise en place d’une charpente métallique pour soutenir le tout.
La phase 3 se focalisera sur la démolition du plancher de la cave à charbon, des fouilles pour continuer les travaux dans la cour et des travaux d’égouttage. Ainsi que le traitement des nouvelles façades de l’annexe. Sans oublier le début des travaux de fondation pour la nef.
Et enfin, la phase 4 s’attardera sur les travaux de revêtement à l’intérieur de l’église et de l’annexe, ainsi que sur le revêtement des murs. Cette phase s’occupera également des menuiseries intérieures, de l’appareillage électrique, de la mise en place du chauffage sol et des compléments (nef, bas-côtés et salle de réunion) et de l’installation sanitaire.
Comme cela a déjà été évoqué, ce chantier va s’étaler sur une dizaine d’années.
L’édifice, restauré en 1616, 1890 et classé en 1936, comporte également de nombreuses traces de vétusté. A l’extérieur, on remarque des pierres éclatées, déstabilisées, délogées, ou encore fendues. A l’intérieur de l’édifice, l’état de délabrement se révèle encore plus explicite. Les surfaces enduites sont en mauvais état (cassures, fissures, décollements, …), tout comme les voûtes, le carrelage, les vitraux…
En outre, le système de chauffage nécessite d’être remplacé : en expulsant l’air chaud, celui-ci se condense au contact des parois froides des voûtes, ce qui fait que les peintures se craquellent et que les enduits perdent leur cohésion.
L’installation électrique est également totalement obsolète. Les câbles ne sont plus isolés et l’ensemble ne répond plus ni à l’usage du lieu, ni aux règles élémentaires de sécurité.
Bref… Il est grand temps. Et le Ministre Collin a bien compris l’urgence : ce dernier a d’octroyé les subsides nécessaires au bon déroulement du dossier en mai dernier : 256.780 euros !
Mais en quoi consistent les travaux ?
Le premier lot, qui concerne la stabilité, le gros-œuvre, la charpente et la couverture, devrait s’étaler de 2018 à 2021 et est estimé à 656.998 € TVAC.
Le deuxième concerne les menuiseries intérieures et extérieures. Estimé à 58.670 € TVAC.
Le troisième lot, enfin, concerne les techniques spéciales et est estimé à 109.372 € TVAC.
En ce qui concerne les travaux en cours, il s’agit la phase 1. Elle regroupe la tranche 1 de chaque lot et la tranche 2 du lot 1. Autrement dit : de la démolition des annexes, du début de la stabilisation du flanc nord et les travaux de toiture (réfection et nouvelle toiture).
La phase 2 porte, elle, sur la réalisation des fondations et des murs de l’annexe, de sa toiture, de l’ancrage du flanc nord et la mise en place d’une charpente métallique pour soutenir le tout.
La phase 3 se focalisera sur la démolition du plancher de la cave à charbon, des fouilles pour continuer les travaux dans la cour et des travaux d’égouttage. Ainsi que le traitement des nouvelles façades de l’annexe. Sans oublier le début des travaux de fondation pour la nef.
Et enfin, la phase 4 s’attardera sur les travaux de revêtement à l’intérieur de l’église et de l’annexe, ainsi que sur le revêtement des murs. Cette phase s’occupera également des menuiseries intérieures, de l’appareillage électrique, de la mise en place du chauffage sol et des compléments (nef, bas-côtés et salle de réunion) et de l’installation sanitaire.
Comme cela a déjà été évoqué, ce chantier va s’étaler sur une dizaine d’années.
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